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Le plus déterminant, à ses yeux, c’est l’absence d’artifice. Dans ce format, il n’y a pas de décor, pas de mise en scène. Il n’y a pas le ton d’une voix, ni l’ambiance d’un brocantage. Il n’y a que le texte. Et ce texte, on le lit solitaire, à son rythme. Il n’attend rien. Il ne donne envie à rien. Il est là. Et parfois, il suffit. Elle conserve certains signaux dans un dossier. Non pas pour les relire assidûment, mais pour chercher ce qui a été présenté à une circonstance donné. Elle ne les prend pas par exemple des matérialisations. Elle les prend par exemple des jalons. Des repères provisoires, précieuses dans l’instant. Des séquences de réponse qui, même incomplets, seraient certifier. À force, elle a compris que ce genre de voyance s’adresse à un salle qu’on entend pointe. Celui qui ne cherche pas un guide, mais un jour empressé. Celui qui ne veut pas s’engager, mais rester en lien. Celui qui n’a aucun besoin d’être impressionné, exclusivement rejoint. Ce que ce format montrons, ce n’est pas un collaboration simplifié. C’est une posture différente. Une écoute sans pression. Une objection qui ne déborde pas. Et qui, a cet effet, fait fréquemment plus de véritablement bien qu’on ne l’aurait cru.

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